Les évêques catholiques polonais ont dénoncé samedi "l'endoctrinement LGBT" exercé, selon eux, par le groupe suédois Ikea, et ont pris la défense d'un salarié récemment limogé qui, des extraits de la Bible à l'appui, s'y était opposé.
Quatre cent mille personnes ont défilé à Madrid pour la Marche des fiertés samedi selon les autorités, avec des festivités dédiées cette année aux pionniers de la cause homosexuelle, et des craintes vis-à-vis de la montée de l'extrême droite.
L’une des plus grandes agences de publicité au monde a renoncé à servir la célèbre marque Nivea après qu’un haut responsable de la société de cosmétique ait déclaré "Nous ne faisons pas les gays chez Nivea" lorsqu’on leur a montré une annonce mettant en vedette deux hommes mains dans la main.
Le père Bernard Preynat, accusé d’agressions sexuelles sur de jeunes scouts de la région lyonnaise avant 1991, a été condamné ce jeudi 4 juillet à un "renvoi de l’état clérical", la plus lourde peine de l’Église.
Les députés ont adopté par 33 voix ce texte défendu par la députée LREM Laetitia Avia. Le vote solennel doit avoir lieu mardi.
Un prêtre a été condamné jeudi à cinq ans de prison, dont trois avec sursis, par le tribunal correctionnel de Rennes pour agression sexuelle sur un adolescent entre 2004 et 2006, principalement à Rome puis à Rennes.
Responsabiliser les plateformes internet, sans pour autant qu'elles s'érigent en juges et censurent à tour de bras: l'Assemblée nationale s'est emparée mercredi d'une proposition de loi LREM sensible qui durcit la lutte contre la haine sur internet.
Des photos de l'exposition "les couples de la République", certains homosexuels, du photographe Olivier Ciappa ont été vandalisées sur les grilles d'un parc à Bourges.
Les organisateurs d'un défilé prévu en août à Boston pour célébrer l'hétérosexualité - par opposition aux Gay Pride devenues une institution dans les grandes villes américaines - ont reçu des enveloppes suspectes, témoin selon eux des "menaces" qui planent sur leur initiative contestée.
Des policiers, des gendarmes et des magistrats sont formés à Marseille à recevoir des plaintes et à instruire des enquêtes pour des délits et crimes racistes, antisémites ou anti-LGBT, afin de lutter contre ces infractions particulières.