La présidente de la Commission interaméricaine des droits de l'homme (CIDH) s'est dite lundi "inquiète" du "discours de haine" de Jair Bolsonaro, élu président du Brésil avec un programme d'extrême droite et coutumier des dérapages racistes, misogynes ou homophobes.
Dans une interview à la presse, le président Andrzej Duda a déclaré qu'il était favorable à une loi qui interdirait l'évocation publique de l'homosexualité dans les écoles.
Les Etats-Unis se sont dits vendredi "très inquiets" des violations des droits de l'homme en Tanzanie et de "l'atmosphère de violence, intimidation et discriminations" imputée au gouvernement de Dar es Salaam.
Des manifestations ont eu lieu samedi dans une soixantaine de villes italiennes pour réclamer le retrait du projet de loi d'un sénateur de Ligue (extrême droite, au pouvoir) qui prévoit de réformer le droit de la famille sur les couples divorcés et la garde des enfants.
Initialement prévu pour la fin novembre, le projet de loi de bioéthique - comprenant notamment l'ouverture de la PMA aux couples de femmes - sera finalement présenté en 2019.
Le gouvernement tunisien se sert de données personnelles et d’"examens" anaux pour engager des poursuites judiciaires contre des homosexuels, dénonce l'organisation Human Rights Watch, témoignanges à l'appui.
Les propos sur un supposé "lobby LGBT à l'Assemblée nationale" de la députée LREM Agnès Thill ne passent pas auprès de ses collègues. Elle a été mise une "dernière" fois en garde par le parti "contre les excès" de ses "prises de position publiques".
La justice rendra le 27 novembre sa décision sur le blocage du site d'extrême droite "Démocratie participative", aux contenus haineux à caractère raciste, antisémite et homophobe, réclamé par le parquet de Paris qui a assigné neuf opérateurs de télécoms à cette fin.
L'inégalité des genres s'installe dès l'enfance selon une étude de l'Unicef France qui recense le sexisme et l'homophobie qui prévalent ches les enfants et adolescents.
Deux hommes de 27 et 30 ans arrêtés dans le cadre de l'enquête sur la violente agression à caractère homophobe à Rouen, ont été mis en examen et placés en détention provisoire, a-t-on appris jeudi auprès du parquet de Rouen.