La Manif pour tous, mouvement d'opposition au mariage homosexuel, a déclaré ce week-end durant son "université d'été" vouloir "réveiller la France" lors de l'An II de son action, mais a exclu de participer aux municipales, afin de rester un mouvement "apolitique".
La justice française s'est opposé in extremis au mariage de deux hommes - un Français et un Marocain - à Jacob-Belcombette, en Savoie en raison d'une convention entre la France et le Maroc qui ne reconnaît pas le mariage entre personnes de même sexe.
Un homosexuel turc de 43 ans sera candidat aux prochaines élections municipales en mars, espérant devenir la première personne ouvertement homosexuelle à occuper des fonctions publiques en Turquie, rapporte samedi la presse turque.
Le tribunal correctionnel de Paris a renvoyé vendredi au 19 février 2014 le procès de neuf membres du groupe féministe Femen, poursuivies pour des dégradations sur les cloches de Notre-Dame de Paris lors de leur action en février dernier.
Le pape François a appelé jeudi croyants et non-croyants à promouvoir le mariage entre un homme et une femme, et la famille.
L'Inter-LGBT dénonce "les contradictions et les reculades du gouvernement" sur la PMA après les récentes déclarations de Marisol Touraine et Najat Vallaud Belkacem. Elle en appelle aux parlementaires pour déposer une proposition de loi ouvrant la PMA aux couples lesbiens.
"Que faire du mouvement de la Manif pour tous?" Lors de leur université d'été, qui se tient samedi et dimanche à Vincennes, les organisateurs du mouvement d'opposition au mariage homosexuel cherchent de trouver un deuxième souffle.
La sénatrice écologiste Esther Benbassa a présenté mercredi une proposition de loi pour instaurer un recours collectif en matière de discrimination et de lutte contre les inégalités.
Deux jeunes opposants au mariage homosexuel dont les gardes à vue ont été annulées par la justice, devaient être entendus jeudi par le Défenseur des droits, a annoncé leur avocat, Me Grégoire Etrillard.
Plusieurs associations demandent au ministère de la Justice d'élaborer une "réponse politique et rapide" face à la situation des couples binationaux de même sexe qui souhaitent se marier mais ne le peuvent pas en raison de conventions bilatérales.